Chronique d’une femme condamnée

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De la toute jeune fille propulsée dans un pays étranger, en proie à toutes les rivalités, surveillée de près par sa mère, l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche, à la femme, vieillie prématurément, qui monte à l’échafaud le 16 octobre 1793, vingt-trois années seulement se sont écoulées. Vingt-trois années durant lesquelles Marie-Antoinette entretient une correspondance régulière et détaillée avec ses proches. Ces lettres sont des documents précieux qui offrent un éclairage très intime sur une période complexe et décisive pour l’histoire de toute l’Europe. Composé à partir d’extraits de la correspondance de Marie-Antoinette, de pamphlets, de textes et de pièces musicales composées durant son règne, le spectacle interroge la notion de « meurtre juste ».

Mise en scène : Lorène Ehrmann
Direction musicale : Fabio Pérez Muñoz
Scénographie : Armen Heydon
Lumières : Arnaud Prauly
Avec : Joséphine Serre (comédienne), Diana Higbee (soprano), Alexandra Marinin (Violon), Sophie Ramambason (violon), et Fabio Pérez Muñoz (violoncelle)
Textes : extraits de la correspondance de Marie-Antoinette et de ses proches.
Musiques : œuvres de FrançoisJoseph Gossec, François Giroust, Christoph W. Gluck, Jean-Philippe Rameau, Jean Gilles, Modeste Grétry et W.A. Mozart.

Co-production : Le Rugissement de la Libellule/ Musique en Lumières